27 juillet 2012
Un Robert Vincent déchaîné... punk ! (1)
"Rose Williams tourne sur elle même au ryhme du Mother sky des Allemands de Can, cherchant un sens métaphysique à cette soirée de fin du monde"
(Robert Vincent, Un Vélodrame ne Normandie, Corlet 2012)
Le nom de l'inquiétante Rose Williams du roman a été inspiré par le défunt chanteur Rozz Williams, de Christian Death, un groupe américain de rock gothique qui fait peur :
Et le morceau de Can sur lequel elle se trémousse est un chef-d'oeuvre du Krautrock, rock psychédélique allemand (1970), qui en a inspiré plus d'un par la suite :
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